3 novembre 2012

CATACOMBS : la Prigione del Diavolo (1988)




Titre originale : la Prigione del Diavolo
Réalisateur(s) : David Schmoeller 
Scénario : Giovanni Dimarco, Barker Price 
Casting : Timothy Van Patten, Ian Abercrombie,
 Jeremy West, Laura Schaefer
Musique : Pino Donaggio
Durée : 84 mn
Pays : Italie USA


Synopsys
Un homme possédé par des démons au XVIe siècle, est enterré vivant dans les catacombes au-dessous d'un monastère. De nos jours, un professeur américain explorant ces catacombes désormais scellées, lâche une épouvantable malédiction vieille de 400 ans...


1 juillet 2012

Les Poupées (1987) - par la HorrorTeam




    Titre vo : Dolls
    Titres altèrnatifs: Dolls USA (original title)
    Babák - Hungary (imdb display title)
    Bonecas Macabras - Brazil
    Dolls - les poupées - France (imdb display title)
    Dolls-Bambole - Italy
    Lalki - Poland
    Muñecos malditos - Mexico (imdb display title)
    The Doll - USA (alternative title)
    Réalisation : Stuart Gordon
    Scénario : Ed Naha
    Production : Charles Band, Brian Yuzna
    Sociétés de production : Empire Pictures et Taryn Productions Inc.
    Musique : Fuzzbee Morse et Victor Spiegel (thème des poupées)
    Pays d'origine : États-Unis
    Genre : Horreur
    Durée : 77 minutes
    Date de sortie : mars 1987 (États-Unis)
    Casting: Ian Patrick Williams , Carolyn Purdy-Gordon , Carrie Lorraine , Guy Rolfe, Hilary Mason,,, Bunty Bailey, Cassie Stuart , Stephen Lee


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    Trailer

    SYNOPSIS

    Sur la route des vacances, bien confortablement assise à l'arrière de la voiture familiale, Judy n'est pas très heureuse. En effet, son père, David Bower  l'a prise pour les vacances, et elle doit supporter sa belle mère, l'acariâtre Rosemary et future épouse de son père. Soudain,  David, sa future épouse Rosemary et Judy sont surpris par un violent orage, qui les contraint à s'arrêter sur le bord de la route. Dépités, les trois membres de la famille quittent la voiture sous la pluie pour rejoindre une grande bâtisse qu'ils aperçoivent au loin. Ils y sont recueillis chaleureusement par deux personnes âgées, Gabriel et Hilary Hartwick. , un couple de vieillards, collectionneurs de poupées. Gabriel fabrique des jouets, plus spécialement des poupées, dont la maison est remplie. C'est alors qu'arrivent Ralph, ainsi qu’ Isabelle Sprange et Enid, deux "punkettes" qu'il a pris en autostop. Ils seront tous invités à passer la nuit, en attendant que la pluie cesse pour pouvoir débloquer leurs voitures. Pendant la nuit, les hôtes dévoilent leur vraie nature Toutefois, le "refuge" se révèle vite mortel pour la plupart d'entre eux, victimes d'attaques de poupées prenant vie et entreprennent de châtier ceux les  invités qui ont perdu leur âme d'enfant...


    Critique Horreur.com
    "Dolls" se présente comme un projet atypique, déconcertant lors d’une première approche, pour la simple raison que le film de Stuart Gordon se place d’emblée dans le monde des contes de fées, tout en n’omettat pas de placer quelques scènes horrifiques. Ce qui enlèverait le doute quant à la destination du public visé. Plus mature que ses précédentes œuvres ("Re Animator", "Aux portes de l’au delà"), elle prouve que Gordon est capable aussi de faire un film au schéma plus classique. 
    Dans la présentation des personnages, Stuart Gordon respecte les caricatures des contes de fées : la belle mère acariâtre, le père qui délaisse sa fille (une sorte de Cendrillon), deux jeunes filles délurées et voleuses, l’homme qui dans son cœur est resté encore un enfant. Cette simplification des caractères n’est pas un défaut dans le cas présent, étant donné que nous nous trouvons dans l’univers des contes de fées. Respectueux de l’univers fantastique et onirique des contes (Cf. la fillette imagine que son ours en peluche devient réalité pour aller tuer ses parents au comportement si peu parental), l’action démarre par une nuit d’orage et une panne de voiture, contraignant les occupants à trouver refuge dans une vaste demeure (=la maison de l’Ogre). En lieu et place de meurtriers sanguinaires, la demeure est celle d’un vieux couple, qui représente parfaitement l’image des grands-parents, ceux qui nous racontaient des histoires avant que nous nous endormions. Ainsi, Gordon renvoie chaque spectateur à une partie de son enfance, où régnait l’insouciance.
    Bien qu’ayant subi la patine du temps, "dolls- Les poupées", constitue un vrai classique de ce que les années 80 ont pu faire de plus subtil en matière d’horreur. En pleine vague de mode des films de poupées tueuses : "Jeu d’enfant", "Puppet Master", le film de Stuart Gordon sort des sentiers balisés, pouvant décontenancer le spectateur avide de frissons lors une première partie qui annonce des personnages clichés, avant que le jeu de massacre ne commence véritablement. Sans oublier un humour noir et la présence inquiétante du vieux couple (soupçonné de sorcellerie par Rosemary - interprétée par la propre épouse du réalisateur). Au final, la morale reste sauve. 


    Un an avant l’apparition de Chucky, figure emblématique des poupées tueuses, Stuart Gordon signait Dolls, son troisième long métrage pour la boîte de production Empire de Charles Band (qui deviendra avec le temps un passionné des films sur le thème avec notamment la franchise des Puppet master) et sous la houlette de Brian Yuzna. Les deux précédents opus du réalisateur, Re-Animator et From beyond, étalaient volontiers un mauvais goût prononcé et s’avéraient être des perles d’humour noir sanguinolentes.
    Les poupées arbore un apanage plus civilisé et s’affiche comme un métrage plus élégant que les deux précédents. La trame assez classique permet un plongeon dans les films d’époque avec ce qu’il faut de personnages typés et une sombre bicoque aux allures gothiques. Une fillette, accompagnée de son père et de sa marâtre, se retrouvent bloqués sur une route de campagne et décident d’aller se réfugier dans un manoir avoisinant. Les propriétaires, un vieux couple de fabricants de jouets, les accueillent à bras ouverts et leur proposent de passer la nuitée au chaud.
    Gordon est un amateur de films d’horreur. Il en connaît toutes les ficelles et en a déjà usé et abusé dans ses deux œuvres antérieures. Du coup, les clichés prennent une autre dimension dans ses films. Les conventions ont une saveur particulière. Poussant les poncifs à l’extrême, le réalisateur présente un panel de personnages mal définis psychologiquement mais savoureusement cadrés selon une conception manichéenne banalissime. D’un côté, les méchants : le père qui hait sa fille, la belle-mère qui n’a de cesse que de la rejeter, les deux donzelles maquillées comme Paris Hilton et fringuées comme David Bowie. De l’autre, les gentils : la petite Judy mignonne comme un cœur et Ralph, adulte aux croyances très enfantines.

    Les 2 clans cernés, le territoire implanté (c’est simple : des poupées partout dans une baraque qui ressemble à une énorme maison de poupées), l’intrigue peut reprendre ses droits. Et le massacre opéré par les poupées commence. Bien loin de partir dans des effusions gores comme c’était le cas dans le délire d’Herbert West, le métrage se contente d’aligner certaines scènes de bon acabit qui donnent lieu à quelques meurtres sympathiques sans tomber pour autant dans le grand-guignolesque. Une cheville sciée par ici, quelques engins balistiques envoyés par là-bas, artifices minimes qui permettent tout de même aux jouets acariâtres de nourrir leur vengeance à l’égard de ces pitoyables adultes qui ne croient pas en eux. Entre deux, les sempiternelles explications de la fillette qui tente de convaincre tant bien que mal les adultes que les poupées sont animées. Esquintant la redondance de la chose, Gordon recourt à des dialogues savoureusement détournés et transformés en sous-entendus équivoques et emplis de jeux de mots et doubles sens effarants.
    Et Gordon, en chef d’orchestre exceptionnel, de nous offrir un final moralisateur pour nous démontrer l’importance de conserver son âme d’enfant envers et contre tout, sous peine de se voir infliger une amende pour excès de vieillesse. Les poupées se décline en fin de compte comme un sombre conte de fées au sein duquel les adultes corrompus sont punis et les enfants innocents épargnés. Sans être un chef-d’œuvre intégral (ben oui, c’est jamais qu’un film avec des trucs en plastique qui tuent quoi !), Les poupées sauve l’honneur grâce à la mise en scène particulière de Gordon et son ton décalé qui sied si bien à Charles Band et sa bande.


    Critique filmculte.com
    En 1988, une poupée rouquine, vengeresse et grognonne fait son apparition dans Jeu d'enfant de Tom Holland. Le divin enfant se nomme Chucky, et le pari est de rendre un innocent jouet fringué comme Denis la Malice aussi flippant que Freddy et ses cisailles. Chucky est devenu culte, probablement plus que le film, pas vraiment à la hauteur. Un an auparavant, d'autres poupées démoniaques ont préparé le terrain. Réalisé par Stuart Gordon, cinéaste révélé par Re-Animator, Les Poupées est peut-être le film ultime du genre. Piochant plus volontiers dans les codes du conte, Gordon marie horreur et merveilleux sur une base prétexte: une famille tombe en panne dans les bois et son seul refuge est une grande et lugubre bâtisse isolée. Ils vont devoir y passer la nuit...
    Au tout début du film, Judy, la jeune héroïne, lit Hansel et Gretel sur la banquette arrière de la voiture. Autre clin d'œil au conte qui annonce le reste du film, mais Les Poupées ne carbure pas qu'aux archétypes posés sur des rails et laisse une large place à l'imprévu et l'imaginaire. En témoigne cette scène extraordinaire où Judy voit son ourson en peluche balancé dans les fougères par son épouvantable marâtre (jouée par l'épouse de Gordon, et inspirée par Cruella d'Enfer), pour mieux revenir sous la forme d'un ours géant qui va se transformer en monstre sanguinaire. Tout ceci n'a lieu que dans l'imagination de la fillette, mais outre la pureté (tous les personnages torturés par les poupées sont des pécheurs), c'est aussi l'imaginaire qui permet de survivre.




    A l'origine, Stuart Gordon était parti en Italie pour diriger From Beyond. Il s'est retrouvé avec cet autre film à tourner, non pas à la place, mais en plus. Tourné avant From Beyond, Les Poupées sortira finalement un an plus tard car le film nécessite alors un large travail de post-production. L'un des charmes indestructibles du long métrage vient de là: cet assemblage magique de stop-motion et de poupées mécaniques pour donner vie aux jouets, tous délicieusement affreux et pas du genre poupon Nenuco. Les mises à mort sont particulièrement jouissives, comme celle, cauchemardesque, de Rosemary. Vintage par le look (les ados qui s'incrustent, déguisées comme Madonna époque Like a Virgin), Les Poupées l'est aussi dans l'esprit, pépite B d'un âge d'or d'horreur tout sauf lisse. Aujourd'hui, le remake se ferait avec Britney Spears et Vin Diesel, commente le scénariste Ed Naha. Une suite avait été imaginée, Judy rentrant chez elle et recevant, par la poste, deux figurines à l'effigie des deux collectionneurs de poupées (splendides Guy Rolfe et Hilary Mason). Celle-ci n'a jamais été tournée...


    Critique de Psychovision.net
    DollsUn an après les délires gores de Re-Animator, Stuart Gordon réalise Dolls, qu'on pourrait qualifier de conte horrifique et quelque peu moralisateur puisque sont uniquement châtiés par les poupées les êtres aux mauvaises intentions.
    DollsLe film dégage une ambiance à la fois magique et macabre accentuée par une partition musicale belle et inquiétante.
    Même si les trucages ont pris un petit coup de vieux, ils n'en 
    demeurent pas moins bourrés d'un certain charme désuet et les poupées jouissent d'une présence étonnante. Dolls fait également preuve de beaucoup d'inventivité dans les meurtres, et l'on retiendra surtout l'attaque d'un féroce Teddy-Bear géant ainsi que la transformation d'un homme en Polichinelle. D'une durée relativement faible (environ 75 minutes), Dolls fait partie des stars de la défunte firme Empire, devenue depuis la miteuse société Full Moon.

    Ian Patrick Williams >>> David Bower

    On peut l'apercevoir Dans l'épisode pilot de NIGHTMARE's FREDDY (tv) et dans Réanimator( scene d'ouverture)





    Carolyn Purdy-Gordon >>> Rosemary Bower

    Elle joue aussi dans "FROM BEYOND" , Autre film de la FullMoon, Réalisé aussi par son mari: Stuart Gordon






    Carrie Lorraine>>>>>>>>>Judy Bower

    Aucune info a ce jour. on ne sais que son veritable nom est Carrie.L.Machacek





    Stephen Lee>>>>>>>>>>>Ralph Morris

    Il apparait également dans "ROBOCOP 2" dans le role de Duffy, flic corrompu, et aussi dans de nombreuse series tv comme "Urgence", "NCIS", "Bones"...> Filmographie <



    Cassie Stuart >>>> Enid Tilley 

    aucune info disponible en francais ou très peu.. on ne connait que Dolls , le tour du monde en 80jours, et Casimodo de 1989 avec elle dedans. 







    Bunty Bailey >>>>>>Isabel Prange

    Tres peu d'infos filtre sur elle ou sur ses films. touts comme Cassie stuart, Dolls reste le seul film connu en europe de cette actrice



    Guy Rolfe >>>> Gabriel Hartwicke

    il est connu pour être l'un des acteurs les plus réccurents de la Fullmoon. Son rôle le plus connu est celui de Toulon dans Puppet Master 3, 4, 5, 7





    Hilary Mason >>> Hilary Hartwicke

    On ne lui connait que très peu de film en europe francophone, mais on la connait surtout pour son rôle d'épouse de chatelain dans Dolls



    Anecdotes

    Quand j'ai regarder ce film la première fois, j'ai l'arrêté après le meurtre de Isabel, tellement que son meurtre était violent. J'avais 8 ans, ma mère a dû m'expliquer que c'était du faux que tout était truqué et que l'histoire avait un happy-end. L'année d'âpres j'ai loué HELLRAISER, qui est autrement violent. Là, c'est ma mère qui s'est accroché au fauteuil. Quelque mois plus tard, je visionnait le film juste après avoir vu CHILD'PLAY et PUPPET MASTER, hé ben c'est devenu mon film de poupées tueuses préféré.Quand on a eu notre recorder vhs, on a eu le film, mais à la longue, il s'est abîmés. Quand on l'as rippé sur DvD 57min n'avait été pris en compte. On a mis des années a le retrouvé. En avril 2010 me suis mis a le recherché et je l'ai trouvé sur les introuvables. et c'est comme ça que me suis mis au Download.


    Conclusion
    DOLLS est et restera le film de poupées a voir absolument . Sous forme de film d'épouvante, ce conte reste bien moralisateur et nous impose même de se remettre en question par rapport qualque fois avec nos réaction et nos actions. A la nouvelle génération, je conseille vivement ce film avant de voir des films plus moderne.

    JE TIENS A REMERCIER L'EQUI

    PE DE LA HORROR TEAM QUI M'ONT AIDER A ME LANCER ET QUI M'ONT INSPIRE CET ARTICLE DONT DEUX DES MEMBRES SONT DES CONTRIBUTEURS.



    26 juin 2012

    Invisble-les aventures de benjamin knight (1994) - Par Yohann




    Titre original : Invisible : The chronicles of Benjamin Knight
    Réalisateur(s) : Jack Ersgard 
    Scénario : Genre : FantastiqueEarl Kenton
    Casting : Brian Cousins, Jennifer Nash, Michael Della Femina, Curt Lowens, David Kaufman
    Musique : David Arkenstone 
    Durée : 83 min
    Pays : USA

    TRAILER

    Synopsis
    A la suite d'un grave accident dans son laboratoire, le savant Benjamin Knight devient invisible. Ce coup du destin peut ravir certaines personnes mal attentionnées, mais c'est un vrai cauchemar pour le chercheur. Sa seule chance de retrouver son apparence réside dans les travaux de ses amis Zanna et Wade. Mais le dangereux et défiguré Dr. Drago va tout faire pour voler la formule et également récupérer le robot contrôlé par Wade...


    Analyse
    inspiré  du  roman de H.G Wells, voici une énième version long-métrage  du savant au problèmes de visibilité. bien que le scénario reste basé sur le roman, la trame de l'histoire change avec des nouveaux éléments futuristes et un zeste d'érotisme. Mais bien que ce film traite de l'homme invisible, il n'en ai pas le héros direct, mais plutôt la femme de son collaborateur. Les ingrédients suivant font la saveurs du film:



    • Le (gentil) savant (Brian Cousins:Wade) coriace paralysé suite a sont accident dans le précèdent opus (à voir) qui dirige l'androïde, principale attraction du film..ne montre presque jamais des signe de maladresse.
    • la femme de notre savant (Jennifer Nash:zana) qui principale héroïne du film , qui suite à la magie de Fullmoon, se bat a l'épée avec maladresse
    • notre homme invisible (Michael Dellafemina: Benjamin Knight), qui n'est pas infaillible et reste maladroit (son accident fait penser  à mr freeze dans Batman)
    • notre savant fou (Curt Lowens:Drago) qui veut récupérer les fameux cristaux, déjà source de conflits dans le précédent opus qui suite a sa tentative, reste défiguré et espère cicatriser grâce aux cristaux.
    • l'androide controler par des lunette et les hommes de mains qui sont des clochard..
    quand au scenario il est riche en rebondissemnt et de mélange de genre: combat entre Zana et Drago à l'épée.....

    Bref ce film est un bon nanard e la Fullmoon qui, même si à certain moment il y a relâche, reste une bonne version z de notre homme invisble

    Grand merci a Yohann, qui a uper ce film qui reste introuvable et super rare à trouver sur tous le net qui lui même l'avait acquis via Gory Freddy

    20 mai 2012

    Arena (1989) - Par Yohann-Debiloff profondikoum



    Titre original : Arena
    Titre(s) alternatif(s) : Man vs  Monster
    Réalisateur(s) : Peter Manoogian 
    Scénario : Danny Bilson, Paul De Meo
    Shattuck
    Musique : Richard Band 
    Durée : 97 min
    Genre : science-fiction
    Pays : Italie - USA

    Casting : Paul Satterfield, Hamilton Camp, Claudia Christian, Marc Alaimo, Shari 


    SYNOPSIS :

    Quelque part dans la galaxie, l'impitoyable Rogor règne en tyran sur une planète où il organise des combats entre des guerriers de tous horizons. Skull, un extraterrestre reptilien, est le champion invaincu de cette arène, dans laquelle Steve Armstrong, un terrien, avait l'intention de faire la démonstration de ses talents. Mais il n'en a pas eu l'opportunité et ne pense désormais qu'à rentrer chez lui. Malheureusement pour lui, il perd simultanément son travail et son appartement et se retrouve contraint de retourner combattre pour subsister. Il reprend son entraînement de gladiateur sous la férule de son ami humanoïde Shorty...

    Trailer

    Critique analyse
    J'ai regarder ce film avec attention et je peux dire que c'est du FullMoon Pur et b comme on les aime. alors 1iere chose qui m'as frapper les les monstres de l'arène caoutchouteux et maladroit dans certains de leurs pas et qui essaie tant bien que mal de survivre au carnage du circuit  inter galactique de combat. 

    Ensuite, nous avons les manager qui sont en compétitions: l'un est plus ou moins honnête (Claudia Christian [Hidden-Maniac cop2] et l'autre  un vrai tyran qui veux avoir main mise sur l'entièreté des combat... sans compter sur le grain de sable que représente le soufiffre de Rogor, Weezil qui est aussi sournois que le Fidget dans Basil de Disney. 

    Et enfin nous avons notre Héros en couche culotte du futur qui essaie tant bien que mal de gagner le titre de champion, non détenu part un terrien depuis 50ans...
     sans parler de Shorty, qui pourrai être le cousin à quatre bras de Gwyldor dans les maitres de l'univers (1987)


    Conclusion ce film reste un nanar bien sympathique et distraire réalisé par le Maitres de la pleine lune...

    Grand merci a Yohann, qui a uper ce film qui reste introuvable et super rare à trouver sur tous le net qui lui même l'avait acquis via Gory Freddy

    18 avril 2012

    Réanimator (1985)


    REANIMATOR 
    Titre : Re-Animator
    Réalisation : Stuart Gordon
    Scénario : Dennis Paoli, William Norris et Stuart Gordon, d'après une nouvelle de H.P. Lovecraft
    Production : Brian Yuzna, Michael Avery et Bruce William Curtis
    Sociétés de production : Empire Pictures et Re-Animator Productions Inc.
    Budget : 900 000 dollars (660 235 euros)
    Musique : Richard Band
    Photographie : Mac Ahlberg
    Montage : Lee Percy
    Direction artistique : Robert A. Burns
    Costumes : Robin Burton et Robin Lewis-West
    Pays d'origine : États-Unis
    Format : Couleurs - 1,85:1 - Mono - 35 mm
    Genre : Comédie, horreur
    Durée : 86 minutes
    Dates de sortie : 18 octobre 1985 (États-Unis), 12 mars 1986 (France)
    Rated NC-17 for extreme horror violence and gore
    Interdit aux moins de 18 ans lors de sa sortie

    Distribution

    Jeffrey Combs : Herbert West
    Bruce Abbott : Dan Cain
    Barbara Crampton : Megan Halsey
    David Gale : le docteur Carl Hill
    Robert Sampson : Dean Alan Halsey
    Gerry Black : Mace
    Carolyn Purdy-Gordon : le docteur Harrod
    Peter Kent : Melvin, le réanimé
    Barbara Pieters : l'infirmière
    Ian Patrick Williams : le professeur suisse
    Bunny Summers : le docteur suisse
    Al Berry : le docteur Gruber


    première affiche du réanimator
    Sypnosys

    Herbert West, un étudiant en médecine, arrive dans l'université Miskatonic à Arkham, dans le Massachusetts, où il suit les cours du professeur Carl Hill sur la physionomie et le fonctionnement du cerveau. Très vite, les deux hommes s'opposent car West prétend pouvoir vaincre la mort. Dans la cave transformée en laboratoire de Dan Cain, un autre étudiant, West met au point une étrange mixture qui, selon lui, permettrait de réanimer les morts. Le chat de Dan est ainsi ramené à la vie.

    Analyse typique
    Au départ, REANIMATOR et ses suites sont librement inspirés de Herbert West, Réanimateur de 1922 (Herbert west-Réanimator en vo) de H.P.Lovecraft (Howard Phillips Lovecraft), étant le successeur de Edgar Allan Poe. Tous deux étant les S.King de leur époque respective. Tout comme dans le roman, Notre cher docteur est arrogant, narcissique, Méprisant les deux états de la vie...ce qui lui reviendra en face plus tard. Son interprète Jeffrey Combs reste un des meilleurs acteurs de la FullMoon.
    Dr West est toujours accompagné d'un faire-valoir crédule et naif qu'il l'aide dans ses recherches. Dans les deux premiers, l'assistant s'appelle Dan Caïn (Bruce Habbot). il sort avec la fille du directeur de l'hôpital. le Dr West et elle sont de Farouche anthagoniste. 
    Et bien sur, nous avons le Super Méchant, le Dr karl Hill (Davil Gale) qui non seulement veut le sérum de son Rival Scientifique,West... Mais qui en plus veut se faire la fille de son Boss.





    Analyse cinématographique
    Réalisé Par Bryan Yuzna, produit par Stuart gordon et  coproduit par le maître Charles Band, ce film a été primé a avoriaz en 1985 avec des Fx assez réussis et des fx gores  a qui mieumieu... Le scenario tient en haleine le Spectateur en lui réservant la surprise du plan suivant. Le (anti) héro réussi toujours  s'échapper de ses galères, le naif qui perd soit la vie, soit sa copine et le méchant qui revient l'épisode d'apres. pour ce qui est des effet visuels certains sont  trop flagrants mais donne un certain charme au film....


    série tv
    Tandis que Brian Yuzna prépare actuellement un remake de son film Re-Animator tourné en 3D, le fameux docteur Herbert West issu de l'imagination de l'écrivain H.P. Lovecraft s'apprête également à débarquer sur le petit écran. C'est du moins ce qu'a annoncé le scénariste, producteur et réalisateur William Butler au magazine Fangoria, après que des images de la série aient été délivrées anonymement à la rédaction du mensuel américain de l'horreur. 

    Quant à l'intrigue en elle-même, elle suivra le personnage de West, adolescent génial débarquant à l'Université de Miskatonic, un établissement marqué par une sombre tragédie l'ayant forcé à fermer ses portes ces 10 dernières années. Brillant et attirant l'oeil de ses camarades féminines, West a pourtant un passe-temps pour le moins obscur puisque la nuit tombée, il opère de curieuses et étranges expériences dans l'établissement désert. Des expériences destinées à dévoiler les secrets de la vie et de la mort. Chaque épisode, Herbert et ses amis devront faire face aux résultats de ces recherches pendant que l'université est soumise à d'étranges phénomènes. On ne sait malheureusement pas pour le moment pour quelle chaîne le programme est destiné. Malheureusement  je n'ai pas plus d'info sur la serie. j'en continue mes recherche.

    comics
    Notre bon dr a eu droit aussi a sa propre bande dessinée sous les éditions Dynamites comics sous le titre CHRONICLES OF DR HERBERT WEST. L'intrigue nous ramène aux cause de l'obsession de ce bon docteur west, à réanimer les cadavres... il a notamment croiser le chemin de Cassie HACK/SLASH (Hack slash vs réanimator) avec qui il devra faire équipe pour enrayer la menace zombie... Il rencontrera aussi le chemin de ASH dans la mini série Army of darkness vs Réanimator



    Le Film